Points chauds
Aung San Suu Kyi, candidate à la présidence birmane « Si je prétendais que je ne voulais pas être présidente, je ne serais pas honnête », a déclaré jeudi matin la chef de l’opposition devant les délégués de plus de 50 pays, présents à Naypyidaw, la capitale birmane, pour le Forum économique de l’Asie du Sud-Est. La lauréate du prix Nobel, députée depuis avril 2012, n’a jamais fait mystère de sa volonté de prendre la suite du président Thein Sein. À deux ans du scrutin, elle est la première candidate officiellement déclarée.